Il y a un peu plus d’un an, j’avais prévu de me faire un nouveau tatouage. Entre estampes coréennes et japonaises, je voulais me couvrir une partie du dos de motifs inspirés des fleurs de cerisiers blancs.
Le rendez-vous était pris, la caution déposée, et puis le destin s’en est mêlé. J’ai dû aller faire un tour sur mon relevé de compte bancaire, et constater qu’à cause de quelques dérapages financiers dont j’ai aujourd’hui oublié l’origine, il me fallait annuler ma réunion avec l’encre.
Et puis quelques mois plus tard, j’ai commencé à voir fleurir les cerisiers dans le commerce. Une lampe d’abord chez Nature et Découvertes. Puis une collection de cosmétiques chez Body Shop. D’autres encore, ailleurs. Et puis hier, le coup de grâce. Des dizaines de fleurs de cerisiers sur un paquet… d’After Eight.
Je peux te dire qu’hier soir, dans les allées de Franprix, j’ai béni pour la première fois mes doigts qui brûlent au contact des billets de banque. Car sans eux, j’aurais aujourd’hui un énorme packaging made in Nestlé sur le dos.
Quel dommage de ne pas te voir faire de la réclame dans mon supermarché préféré, tu aurais fait, j'en suis sur, un très bon support de PLV.
Où qu'ils sont les autres tatouages ?
Rédigé par : Guillaume | 11 mars 2008 à 16:15
Avec mon mètre 90, je serais effectivement un très bon PLV. Mais plutôt pour "la saucisse humaine" que pour After Eight.
Les autres sont dans le dos, mais assez microbes. Rien à voir avec le placard publicitaire que je prévoyais !
Rédigé par : Alexandra | 11 mars 2008 à 17:29